NOS ENGAGEMENTS

Sophie Fourmaux en train de réaliser un abat-jour en papier japonais

SAVOIR-FAIRE


Etre artisan d’art implique l’exigence du savoir-faire et contribue à la transmission d’un métier. Etre membre des Ateliers d’Art de France est une garantie de la qualité du travail fourni ;

Derrière chaque conception d’objet, se cache des mois de Recherche et Développement : test de proportion, de colle, de nouvelle forme, de papiers…

La précision, le travail à la main, le détail des finitions font partie des exigences quotidiennes ;

Les ingrédients en plus : l’audace, la simple élégance, l’avant-gardisme, la passion des belles choses…

savoir-faire de sophie fourmaux création d'un abat-jour en papier japonais

FABRICATION FRANçAISE


Abat-jours, suspensions, appliques murales, objets de décoration, bijoux… tout est fabriqué au sein de l’atelier situé en région parisienne.

Même si la fabrication est française, nous nous battons au quotidien pour que nos prix soient les plus accessibles possibles pour tous nos clients quelque soit leur profil.

dans la papiertheque de sophie fourmaux : exposition des feuilles de papiers japonais et pied de lampe en bois de hêtre brut

sourcing


Les papiers japonais sont fabriqués au Japon, les papiers népalais au Népal et les papiers indien en Inde.

Les achats des papiers s’effectuent en priorité via des grossistes français et dans un second temps via des grossistes basés aux Japon, Pays-Bas et Canada.

Nos fournisseurs s’engagent dans une démarche de développement durable et dans une politique RSE. Ces entreprises ou ces coopératives s’inscrivent dans une gestion durable des forêts, pour des conditions de travail de leurs employé(e)s d’excellente qualité et la non utilisation de produits toxiques dans la fabrication du papier.

carcasse d'abat-jour dans un meuble et des bacs remplis de rouleaux de papier japonais ou népalais

Développement durable


Depuis l’origine de l’entreprise, Sophie Fourmaux a intégré une démarche RSE et une politique de Développement Durable.

« Prendre conscience de l’impact de son activité sur l’environnement, c’est compter le nombre de cartons d’emballage, de chutes de papier ou de polyphane, de fils électriques ou d’ampoules… que l’on jette chaque semaine. Prendre la voiture pleine à craquer de ces déchets pour aller les jeter à la déchetterie municipale est toujours un crève-cœur ! Il faut réduire, réutiliser, revaloriser, créer de nouveaux produits avec. Cela devient un défi, un enjeu et un engagement au quotidien. »